Damas
(Syrie) |
La période du « Printemps arabe » touche à sa fin. Désormais, la Maison-Blanche et le Kremlin sont en train de redessiner les contours du « Moyen-Orient élargi ». Cependant, leur accord conclu avant l’intervention militaire russe en Syrie pourrait être modifié par le changement de l’équilibre des forces. Rien ne prouve que Moscou acceptera la stabilisation de la Syrie et fermera les yeux sur la partition de la Turquie et de l’Arabie saoudite qui vont commencer. Quoi qu’il en soit, le bouleversement qui s’annonce modifie la donne établie depuis cinq ans. La plupart des puissances impliquées essayent donc de retourner leur veste avant les autres.
La période du « Printemps arabe » touche à sa fin. Désormais, la Maison-Blanche et le Kremlin sont en train de redessiner les contours du « Moyen-Orient élargi ». Cependant, leur accord conclu avant l’intervention militaire russe en Syrie pourrait être modifié par le changement de l’équilibre des forces. Rien ne prouve que Moscou acceptera la stabilisation de la Syrie et fermera les yeux sur la partition de la Turquie et de l’Arabie saoudite qui vont commencer. Quoi qu’il en soit, le bouleversement qui s’annonce modifie la donne établie depuis cinq ans. La plupart des puissances impliquées essayent donc de retourner leur veste avant les autres.
Berlin
(Allemagne) |
L’Allemagne tente de sortir du rôle qui lui a été assigné durant le conflit syrien. Le ministre des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, cherche à organiser une réunion au sommet entre grandes puissances pour négocier la paix. Mais ce projet sera très difficile à réaliser, à la fois parce que l’Allemagne a une lourde responsabilité dans la guerre et parce que la France persiste à vouloir détruire la République arabe syrienne.
L’Allemagne tente de sortir du rôle qui lui a été assigné durant le conflit syrien. Le ministre des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, cherche à organiser une réunion au sommet entre grandes puissances pour négocier la paix. Mais ce projet sera très difficile à réaliser, à la fois parce que l’Allemagne a une lourde responsabilité dans la guerre et parce que la France persiste à vouloir détruire la République arabe syrienne.
Montréal
(Canada) |
La guerre en Ukraine continue, sans aucune solution à l’horizon. Il ne s’agit pas seulement d’une guerre civile, mais d’une guerre d’agression par procuration de la part des États-Unis et de ses satellites européens et anglo-saxons contre la Fédération de Russie. Les raisons pour lesquelles le gouvernement US poursuit une telle politique dangereuse peuvent paraître mystérieuses, c’est pourquoi il est bon de rappeler les origines de la guerre actuelle.
La guerre en Ukraine continue, sans aucune solution à l’horizon. Il ne s’agit pas seulement d’une guerre civile, mais d’une guerre d’agression par procuration de la part des États-Unis et de ses satellites européens et anglo-saxons contre la Fédération de Russie. Les raisons pour lesquelles le gouvernement US poursuit une telle politique dangereuse peuvent paraître mystérieuses, c’est pourquoi il est bon de rappeler les origines de la guerre actuelle.
En
bref
Controverses
Rome
(Italie) |
Les Européens ont tort de se rejeter la responsabilités des guerres actuelles. Elles sont toutes le fait de l’Otan à laquelle ils collaborent tous. Ils sont donc tous responsables de ces crimes, même si les deux seules puissances décisionnaires de l’Alliance atlantique sont les États-Unis et accessoirement le Royaume-Uni.
Les Européens ont tort de se rejeter la responsabilités des guerres actuelles. Elles sont toutes le fait de l’Otan à laquelle ils collaborent tous. Ils sont donc tous responsables de ces crimes, même si les deux seules puissances décisionnaires de l’Alliance atlantique sont les États-Unis et accessoirement le Royaume-Uni.
Les « Abenomics » ne
parviennent pas à mettre un terme à la crise japonaise
par
Ariel Noyola Rodríguez
Mexico
(Mexique) |
Les perspectives économiques du Japon mettent en évidence l’échec total des politiques monétaires « non conventionnelles » mises en place par certaines banques centrales de pays industrialisés. En plus de ne pas enregistrer une croissance soutenue, selon les chiffres officiels, l’économie nippone souffre d’un retour de la chute des prix. Le plan de redressement lancé par le Premier Ministre Shinzo Abe s’est écroulé : tout comme depuis le milieu des années 1990, le Japon s’enfonce dans l’impasse économique et la déflation, alors que la dette publique ne cesse d’augmenter.
Les perspectives économiques du Japon mettent en évidence l’échec total des politiques monétaires « non conventionnelles » mises en place par certaines banques centrales de pays industrialisés. En plus de ne pas enregistrer une croissance soutenue, selon les chiffres officiels, l’économie nippone souffre d’un retour de la chute des prix. Le plan de redressement lancé par le Premier Ministre Shinzo Abe s’est écroulé : tout comme depuis le milieu des années 1990, le Japon s’enfonce dans l’impasse économique et la déflation, alors que la dette publique ne cesse d’augmenter.
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