| 12 septembre 2008 Il n’a fallu que trois jours à Jean-Marie Bigard pour « demander pardon » d’avoir remis en question la version officielle du 11 septembre et fait référence au documentaire Loose Change et au livre L’Effroyable imposture. Face aux violentes réactions de plusieurs éditorialistes et responsables politiques, l’humoriste a répondu par un court communiqué : « Je demande pardon à tout le monde pour les propos que j’ai tenus. Je ne parlerai plus jamais des événements du 11 septembre. Je n’émettrai plus jamais de doutes. J’ai été traité de révisionniste, ce que je ne suis évidemment pas. » Pourtant, du Japon à l’Italie en passant par les États-Unis, le Canada et le Venezuela, les mêmes propos ont été tenus par des parlementaires et des présidents. Doivent-ils aussi demander pardon ? C’est l’objet de ce roman photo. |