Roberto Abraham Scaruffi: http://www.rfi.fr

Sunday, 28 June 2009

http://www.rfi.fr

Guinée-Bissau

Quel président pour un Etat en crise ?

Près de 600 000 électeurs sont appelés aux urnes ce dimanche pour le premier tour de l'élection présidentielle anticipée en Guinée Bissau. La Commission Nationale des Elections affirme que tout est prêt. L'élection fait suite à l'assassinat par des militaires, le 2 mars dernier, du président Nino Vieira. Un candidat et un ancien ministre ont eux-mêmes été tués au moment de l'ouverture de la campagne. Rien n'a été résolu depuis. Et beaucoup craignent que les violences politiques ne reprennent après l'élection.

Niger

Tandja face à une virulente opposition

L'opposition au Niger ne mâche pas ses mots : « La prise des pouvoirs exceptionnels par le président Tandja est un "coup d'Etat" ». Des pouvoirs exceptionnels pris en invoquant l'article 53 de la Constitution et qui lui permettront de gouverner par décrets et ordonnances.

Etats-Unis

Michael Jackson autopsié une seconde fois à la demande la famille

La famille de Michael Jackson est sortie de son silence pour demander une deuxième autopsie, la première ayant permis d'écarter la thèse du crime violent. Les résultats des analyses toxicologiques faites sur le corps devraient prendre plusieurs semaines.

Argentine

Les clés d'un scrutin

L'avenir de plusieurs présidentiables sera en jeu à l'issue des élections législatives du dimanche 28 juin, transformées par le pouvoir en une sorte de plébiscite sur la gestion gouvernementale de Néstor et Cristina Kirchner.

Iran

Moussavi et Karoubi refusent de participer au recomptage

Les deux principaux candidats de l'opposition lors de la présidentielle rejettent la proposition du Conseil des Gardiens de la Révolution de participer à une commission chargée de recompter une partie des bulletins de vote.

Honduras

Manuel Zelaya tente un passage en force

Les Honduriens vont-ils se prononcer dimanche sur la réforme de leur Constitution ? Le président Manuel Zelaya compte bien organiser le vote coûte que coûte même si la justice du Honduras juge le processus de consultation illégal. L'armée s'est déployée dans la capitale et la situation est très instable.