Roberto Abraham Scaruffi

Thursday 16 July 2015

 
 JEUDI 16 JUILLET 2015 
 
 Le texte qui impose des réformes drastiques a été voté grâce à l’opposition, Alexis Tsipras ayant été lourdement critiqué au sein de son parti Syriza. 
Le Parlement grec adopte le plan d’aide… et maintenant ?
 
Le texte qui impose des réformes drastiques a été voté grâce à l’opposition, Alexis Tsipras ayant été lourdement critiqué au sein de son parti Syriza.
 
 
 
 Au total, les hausses de taxes et baisses de dépenses publiques prévues dans les contreparties au plan d'aide à la Grèce représentent une contraction budgétaire de plus de 6 milliards d’euros en 2015 et 2016, soit 3,4 % du produit intérieur brut (PIB). 
« Délirant », « irréaliste »... Des économistes jugent le plan d’aide grec
 
Les mesures demandées à Athènes auront un effet récessif à court terme, sans résoudre le problème de la dette publique, jugée insoutenable.
 
 
 
 La problématique des suicides a éclaté en 2010, au début de la crise. D’un coup, la hausse a été brutale, devenant l’une des plus spectaculaires d’Europe. 
En Grèce, les appels à l’aide auprès de SOS-Suicide sont en baisse
 
Depuis quinze jours, l’organisation constate une chute des sollicitations. Le référendum semble avoir eu un effet apaisant. Mais la suite pourrait s’avérer moins sereine.
 
 
 
 Plusieurs Parlements nationaux de la zone euro sont appelés à se prononcer sur le compromis trouvé lundi 13 juillet à Bruxelles entre Athènes 
Quelle conséquence si un Parlement européen vote contre l’accord ?
 
 
 
 
 Merkel, Hollande et Tsipras réunis pour négocier la sortie de crise grecque. 
En quoi consiste concrètement l’accord européen pour une nouvelle aide à la Grèce ?
 
Après des semaines de discussions et un risque de « Grexit », les responsables européens se sont mis d’accord pour permettre à la Grèce de sortir de la crise.
 
 
 
 Les créanciers de la Grèce pourront refuser telle ou telle mesure voulue par le gouvernement grec sous prétexte qu’elle a un impact sur le budget. 
Trois futurs sujets de tension entre Athènes et ses créanciers
 
Selon l’accord conclu lundi 13 juillet, le gouvernement grec devra accepter plus de contrôle budgétaire, l’annulation de mesures prises depuis six mois et le recul des dépenses militaires.